Un sujet rarement abordé…
Si le marin possède une femme dans chaque port, en revanche il n’en
embarque point ! Or il n’y a pas que le mât du bateau qui se doit d’être
correctement érigé. Et tous les navigateurs l'avouent : tirer des bords,
s’envoyer la grand voile ou amurer le grand foc sur le bout-dehors ne
suffit pas pour assouvir une légitime libido.
Alors question : sur leur bateau de 60 pieds, comment les Peyron, Le
Cam, et autres Desjoyeaux, qui l'ont pourtant marin, prennent-ils le
leur ? Au risque de choquer, il faut avoir le courage de le dire : ils
ont beau mesurer leur vitesse en nœud, leur plaisir est comme leur
course, solitaire. Au mieux, s’ils naviguent avec un équipier, certains
peuvent dériver, virer de bord, et se laisser à embraquer leur bout
autour d’une bitte d’amarrage.
On comprend alors mieux leur soulagement quand enfin ils pénètrent le
bassin du port pour se retrouver au mouillage...
Bob
samedi 31 janvier 2009
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1 commentaire:
Est-ce que ces histoires de port un peu cochonnes pourraient aussi évoquer les bittes d'amarage ?
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